Halloween Le Défi
Cette première incartade réalisée par ma nouvelle copine mavait laissé fébrile, et le mot est faible. Tout mon abdomen bouillait et je sentais le sang étreindre ma boite crânienne. Cependant, une flamme consumait le bas de mon abdomen et me suppliait de continuer. Le gout du sperme de son premier amant en bouche et la queue dure comme du fer, je pris la décision de défier Marianna.
« Daccord, voilà ce que tu vas faire », lançais-je dans lespoir quelle acquiesce. « Tu vas sucer les quatre autres mecs en serviette. Ton objectif est de trouver une queue plus grosse que la mienne qui, sans chercher à me vanter, mesure plus de 20 cm . Tu suces ces mecs et tu prends le sperme en bouche, rien dautre. Toutefois, si lun deux toffre une queue plus épaisse et plus longue que la mienne, tu lui enfiles une capote, tu te lèves, te tournes et te fais baiser pour quil te défonce. Essaie de faire en sorte quil jouisse dans la capote que je viderai sur ta chatte. Une fois fait, tu lui demandes de partir et tu me textes illico. Je veux ton sexe ouvert, fraichement baisé et tartiné de foutre. »
« Oh! Eh bien, mon coquin, tu veux vraiment faire de moi une véritable salope. Je nai jamais sucé autant dhommes en une seule soirée. Pas plus que je nai baisé dans des toilettes pendant que mon copain attendait sagement à létage. Ce serait une première. »
« Perso, jaimerais quils te baisent et jutent tous dans ta chatte. Mais tenons-nous-en au plan. Cest plus sûr et presque tout aussi bandant. Joubliais, après têtre fait remplir la bouche de foutre, tu navales pas. Tu recraches dans ta main et tu te tartines la chatte avec. Ensuite, tu me reviens pour mon baiser de partage. Je veux apprendre à aimer le sperme, car je désire que tu deviennes un véritable sac à foutre que je pourrai déguster autant que possible. »
« Ok. Cest complètement dingue, mais ça mexcite terriblement. Tu mexcites et tes fantasmes mallument grave ! Daccord, je veux bien sucer autant de loosers que tu veux et me faire baiser par tous les mecs qui mexcitent ou me font des avances.
« Oui, cest ce que je veux », répondis-je avec une assurance emplie de gratitude mêlée à une grande dose dincertitude.
« Ok, mais je vais peut-être devoir faire ça dans les toilettes des hommes, enchaina-t-elle. Mes deux dernières visites dans les toilettes pour femmes ne sont pas passées inaperçues et je ne voudrais pas me faire virer de ce bar, je connais les proprios. Jimagine que la solidarité masculine impose une certaine omerta pour ce type de situation », senquit-elle ?
« Oh ! Je vois que tu penses à tout, ma cochonne ! Je ne peux que ten féliciter. Ça ouvre évidemment la porte à dautres possibilités
Soit, et comme ça, je pourrai aller te rejoindre plus facilement et, pourquoi pas, tobserver depuis la cabine dà côté. »
« Shooters ! », cria Mathieu qui commençait enfin à subir leffet de lalcool.
Cette fois-ci, je trinquais avec ma douce et avala ce remontant avec enthousiasme. Javais toujours rêvé de pénétrer un con tapissé de foutre, surtout sil sagissait du vagin de ma douce, mais la situation me faisait bouillonner. Je ne savais pas si je tiendrais le coup. Et je dois admettre que jétais en partie frustré de ne pas assister à ces ébats libertins. Jaurais tant aimé la voir se faire prendre comme une pute dans une cabine de toilettes publiques, mais je me rassurais en me disant quil sagissait de nos débuts et quil y aurait dautres occasions. Après le deuxième verre vidé, elle me regarda avec un air de courtisane qui mélectrisa et partit vers lescalier, non sans avoir invité auparavant, dun signe de la tête, lun des mecs en serviette. Je croyais rêver, mais tout était vrai.
Cinq minutes plus tard ce fut rapide Marianna me revint, me fit un clin dil et pinça ses lèvres, signifiant quelle avait rempli sa mission. Elle approcha sa bouche de la mienne, louvrit et membrassa à nouveau. Je retrouvai demblée ce gout si particulier, cette fois rehaussé dun effluve typique des produits océaniques
Le mec devait avoir une hygiène plus négligée que le premier.
« Tu pues la bite, ma salope ! », lui lançais-je en souriant après que nous ayons fini de consumer le sperme de son deuxième amant. Jen profitai pour glisser discrètement deux doigts dans sa fente gluante. Elle avait bien rempli sa part du marché et avait épandu la semence du mec sur son sexe ouvert et libéré de toute pilosité.
« Sa queue était très odorante », ma-t-elle chuchoté sur un ton qui je ne lui connaissais pas. Elle semblait possédée. « Sa bite est restée flasque et dun coup, il sest mis à bander et il est venu quelques secondes plus tard. Bref, il ne ma pas baisée, comme tu dois ten douter. Par contre, lidée des toilettes pour hommes sest avérée excellente. Les mecs présents, bien quexcités par la situation, ont su rester discrets. »
« Cest bien comme ça, il en reste trois. Et si aucun dentre eux ne remplit nos critères, tu devras sucer dautres mecs jusquà ce que tu trouves une bite énorme », lui dis-je sans parvenir à croire ce que je venais de prononcer.
« Tes sérieux là ? Tant quà faire, pourquoi ne pas les inviter à venir me baiser dans notre chambre ? Tu aimerais ça ? »
« Ça dépend, ma belle. Que proposes-tu et quel rôle me vois-tu jouer ? »
« Cest simple. Jinvite les mecs en serviette qui me dévorent du regard à venir me baiser et je te texte quand cest terminé. Toi, tu viens me rejoindre et tu me nettoies avec ta langue avant que je reparte à la chasse. Quand jen aurai eu assez, tu auras le droit de me baiser à ton tour. Sache que tu nauras le droit de me baiser quen dernier », indiqua-t-elle, sans se soucier de savoir si cette nouvelle règle me convenait.
Avant que je ne puisse soulever une quelconque objection, Claudine, la petite grassette un peu obscène, se faufila entre nous et nous lança un regard inquisiteur.
« Je crois avoir deviné votre manège, les tourtereaux, nous dit-elle. Je ne te pensais pas comme ça, Marianna. »
« Comme quoi », rétorqua ma douce ?
« Avide de queues », poursuivit Claudine.
« Et toi, tu vas rester en plan », me risquais-je ?
« Ça ne risque pas », affirma Claudine à la façon dune mère maquerelle ! « De vieux amis minvitent à une soirée où je serai la seule fille. Lennui, cest quils ne sont pas chauds à lidée que je vienne accompagnée. Ils veulent me jouer au poker toute la nuit et nacceptent pas de nouveaux joueurs. »
« Combien sont-ils », demandai-je ?
« Six, pourquoi ? En tous cas, Marc et Alessandro seraient plus que partants. Marianna leur plait beaucoup. Et pour info, je les ai fait tester, ils sont clean. Je dis ça comme ça, vu que les jeux de sperme ont lair de vous émoustiller. »
Loccasion était trop bonne. Dun côté, Marianna accepterait sûrement de se faire prendre sans condom et de lautre, je ne vois pas comment elle pourrait mévincer étant donné que Marc et Alessandro accepteront très certainement que je sois présent.
« Quen dis-tu, ma coquine ? On peut y aller tout de suite si tu veux. »
« Je ne sais pas trop. Oui, pourquoi pas ? Mais javais envie de mener à bien ma mission avant. Et la nuit est encore jeune
»
Pour résumer, ma désormais salope tenait à sucer les trois autres mecs qui étaient inscrits au menu et nous verrons par la suite. Pour une première, cétait toute une première. Jacquiesçai et leva mon verre en direction des deux prétendants que Claudine nous avait gentiment refilés. Marc et Alessandro me rendirent la pareille et Marianna sembla amusée par mon assurance.
« Jai envie de queues », me lança-t-elle une fois Claudine partie. « Je ne veux pas me limiter à deux hommes ce soir. Jaimais mieux ton idée de départ et jimaginais quelques entorses à ton règlement. Disons que maintenant, nos options sont plutôt limitées.
« Ah bon ? Quelles entorses ? »
« Tu ne le sauras pas à moins que nous poursuivions sur notre lancée. »
« Très bien, lui dis-je », un peu agacé. Lexcitation était déjà à son comble sans avoir à rajouter un pénible suspens. « Ok, donc toi, tu invites tes prétendants en serviette au condo. Fais ce que tu veux, tu as carte blanche, mon amour. Jaimerais vraiment pouvoir y être, mais je me reprendrai. Pendant ce temps, je ferai connaissance avec nos nouveaux amis et je leur expliquerai que tu devais aller te rafraichir. Une fois que tu en auras fini avec eux, tu me textes et je te rejoins. Ne va pas aux toilettes et ne prends pas de douche avant que jarrive. Un détail qui a son importance, insistais-je, tu dois répondre au téléphone en tout temps, même si tu es en train de te faire baiser. Je dois savoir si tu es en sécurité. Si tu en veux plus après ça, on improvisera et quoiquil arrive, on garde Marc et Alessandro pour plus tard. Ok ? »
« Jinvite les cinq », demanda-t-elle dun air de sainte nitouche ?
« Oui, tu crois être capable de gérer ? »
« Je crois que oui. Embrasse-moi », mordonna-t-elle en se lovant contre moi. « On se voit plus tard, ta copine va se faire sauter. »
Et elle se dirigea droit vers le groupe de mecs en serviettes et cest là que je réalisai quils nétaient plus que cinq. Dautres fanfarons avaient rejoint le groupe nayant pour costume, eux aussi, quune serviette de bain blanche. Je ne parvins pas à définir précisément combien de mecs sétaient greffés à cette joyeuse bande, mais il me sembla quils étaient au moins le double. Marianna discutait avec celui qui fut le premier à profiter de sa bouche dans les toilettes et ce dernier afficha un air suspect avant de regarder dans ma direction. Jopinai du bonnet et il en fit de même. Voilà comment on livre sa copine à de parfaits inconnus qui nont pour objectif que de profiter de ses charmes sans aucune retenue.
Marianna se retourna et me lança un regard amoureux. Elle menvoya un dernier baisé de loin et se dirigea vers la sortie. À mesure que les mecs se passaient la nouvelle, des cris fusaient et les verres se vidaient. Bientôt, la foule ne recelait plus en elle cette bande de paradeurs ne portant sur eux quune serviette de bain. Cest alors que je réalisai que Marc et Alessandro avaient possiblement été témoins de la scène. Contrairement à moi, ils napprécieraient peut-être pas de passer après cette meute de fêtards. Heureusement, Claudine les avait tenus occupés et me fit signe de loin que tout allait bien.
Dun coup, mon costume me sembla très approprié. Il aurait en effet été impossible de dissimuler mon érection dans une tenue disco.
Je me frayai un chemin jusquà Marc et Alessandro et Claudine prit congé alors que nous venions à peine de commencer à discuter. Elle nous embrassa tous les trois et me fit comprendre que Marianna devait bien soccuper de ses amis. Je lui affirmai que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que ses amants profitent des charmes de Marianna. Elle sembla satisfaite et partit en haussant les sourcils, comme pour nous signifier quelle allait elle-même prendre beaucoup de plaisir.
En discutant avec Marc et Alessandro, je découvris quils partageaient régulièrement Claudine en gangbang lors de soirées à pluralité masculine. Ils avaient depuis peu initié la coquine à lart du dogging sur des parkings ou des boisés urbains. Leur nouvelle recherche consistait à trouver un gloryhole où elle pourrait sadonner à sa passion pour la fellation et la baise à la chaine, mais cette fois, de façon anonyme. « Claudine est une véritable salope », maffirma Alessandro qui me confia aimer la prendre couverte de foutre. « Moi ce que jaime, cest la pénétrer après tous les mecs, renchérit Marc. On cherche un groupe constitué qui pratique le remplissage à la chaine, mais avec les ITS, cest pas évident », concéda-t-il. Finalement, pensais-je, ils ne rechigneraient peut-être pas à passer en dernier sur Marianna.
Ma tête et mon corps semblaient ne plus mappartenir. Lattente, adoucie quelque peu par ma conversation avec ces deux libertins aguerris, demeurait insoutenable. Je ne parvenais pas à calmer mes ardeurs et je navais quune envie; rejoindre ma salope. Je mesquivai du bar et tenta de lappeler. Ça ne répondit pas, évidemment. Jinsistai. Après trois essais, on décrocha enfin. Cétait un des fêtards. « Elle est occupée, je peux prendre un message ? » Quel gros con! « Passe-moi ma copine stp. » Marianna répondit en haletant, essoufflée, ne pouvant réprimer des cris de jouissance. « Salut mon amour. Tout va bien, me dit-elle entre deux gémissements. « Je minquiète. Combien sont-ils ? » « Je ne sais pas, me répondit-elle. Beaucoup. Ils étaient huit finalement, mais ils ont invité dautres mecs. Le condo est plein. »
« Le condo est plein ? Tes sûre que ça va ? », demandai-je à la fois de plus en plus inquiet et au paroxysme de lexcitation. « Oui, ne tinquiète pas, mon cur. Cest tellement bon ! Merci pour tout ! Rappelle dans une heure. »
Et elle raccrocha.
À suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!